Cette série de sérigraphies à été réalisé en écho au principe managériales de « restructuration » des entreprises. Ces réorganisation structurelles sont notamment à l’origine des délocalisations et donc de la désindustrialisation massive. L’abandons des patrimoines architecturaux qui en résultent a produit un imaginaire réappropriés par des politiques culturelles en quête d’une identité salvatrice.