Depuis la statue de la Vierge à Hayange, une vue sur les hauts-fourneaux fermés depuis 2012 par ArcelorMittal.

In the Valley of Angels, history remembers the heroic figure of the steelworker who fought against the closure of factories. What is the place of women in this territory shaped by industrial paternalism? Once relegated to domestic work, their lives were marked by the shifts of their husbands in factories that operated day and night. They participated, often in the shadows, in the economic functioning of the valley. Over time, women emancipated themselves from the private sphere by engaging in salaried work. Although deindustrialization has drastically reduced the number of jobs in Moselle, industry still plays an important role. Once absent, women today take center stage in the factories, building careers in key industrial roles.
Série réalisée dans le cadre d’une résidence de territoire soutenue par la DRAC Grand Est, la Communauté d’Agglomération du Val de Fensch, le Parc du haut-fourneau U4, la Cité Sociale de Fameck et la Ligue de l’Enseignement de Moselle.
This project was carried out as part of a territorial residency supported by the DRAC Grand Est, the Community of Agglomeration of the Val de Fensch, and the Cité Sociale de Fameck.

Les vestiaires de la fonderie d’Uckange. Le site sidérurgique est désaffecté depuis sa fermeture en 1991.


Caroline regarde le portrait de son mari ouvrier fondeur, aujourd’hui décédé, photographié devant le haut fourneau n°4 à Uckange.

Dans ce quartier d’habitations de Nilvange, les maisons étaient originellement destinées aux ingénieurs de l’industrie sidérurgique.Elles sont situées à côté d’une voie ferré notamment utilisée pour le transport de marchandises entre les différents site industriels.

Adèle se remémore le bruit constant des usines sidérurgiques qui tournaient jours et nuits dans la vallée.


Le haut fournau d’Uckange vu depuis le potager d’une maison ouvrière.


Christine, ancienne employée de l’entreprise Lorfonte puis d’Arcelor devant l’ancien Haut-Fourneau n°4 de la fonderie d’Uckange.


Serémenge-Erzange, la cheminée de l’ancienne cokerie désaffectée du site ArcelorMittal de Florange à proximité d’un quartier d’habitation.


Lila, originaire d’Algérie devant chez elle. Elle est arrivée en Moselle à 24 ans. Elle n’a pas exercé son métier d’infirmière malgré son diplôme obtenu dans son pays natal, aujourd’hui elle travaille à son compte comme traiteur. Son mari a travaillé dans la sidérurgie avant de devenir routier. Ils sont locataires d’une petite maison à Fameck.


Nilvange, un immeuble de logements originellement destinés aux ouvriers de la sidérurgie.


Laurence devant l’immeuble dans lequel sa famille a habité en arrivant d’Italie après guerre et où elle grandira jusqu’à ses huit ans.


Fontoy, la centrale électrique désaffectée de la SMK.


Sandrine, employée chez ArcelorMittal, dans son uniforme de terrain devant l’usine à chaud de Florange. Bien que certains métiers industriels se soient féminisés, l’usine reste un lieu de sur-représentation des hommes.


Florange, des rails au sein de l’entreprise ArcelorMittal devant l’usine à chaud de Florange.


Aurélia, employée chez ArcelorMittal, devant le train à chaud de l’usine de Florange.


L’installation de refroidissement des eaux de l’usine de Florange vue depuis le bord de la rivière Fensch.


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